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Kommentare

Anonym hat gesagt…
As melhoras Teresa.
Uma gripe é sempre chata.

Rita
Jorge P. Guedes hat gesagt…
Belo quadro!

Então a gripe apanhou-a, teresa?

As suas rápidas meljoras.

Um abraço.
Jorge P.G.
Anonym hat gesagt…
Dass die Deutschen keine Nation von Blog-Warten geworden sind, ist kein Grund zur Häme. Eher zur Selbstironie. So schwach die deutschen Blogger im weltweiten Vergleich abschneiden, so gut sind sie als Bildungshuber. Die deutsche Ausgabe des Internet-Lexikons Wikipedia ist die zweitgrößte weltweit. Die Deutschen sind vielleicht kein Volk von Volkstribunen, aber eines von Oberlehrern. (Spiegel vom 21.7.08) Christa
BC hat gesagt…
Então Teresa, está melhor da gripe?
ERspero que sim, andamos muito silenciosas, mas a imagem é linda...
Beijinhos e rápidas melhoras
Isabel
Avó Pirueta hat gesagt…
Teresa, estou com saudades tuas! Carmo
etc. pp hat gesagt…
French original lyrics by Jacques Brel :
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui chantent
Les rêves qui les hantent
Au large d'Amsterdam
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui dorment
Comme des oriflammes
Le long des berges mornes
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui meurent
Pleins de bière et de drames
Aux premières lueurs
Mais dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui naissent
Dans la chaleur épaisse
Des langueurs océanes

Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui mangent
Sur des nappes trop blanches
Des poissons ruisselants
Ils vous montrent des dents
A croquer la fortune
A décroisser la lune
A bouffer des haubans
Et ça sent la morue
Jusque dans le coeur des frites
Que leurs grosses mains invitent
A revenir en plus
Puis se lèvent en riant
Dans un bruit de tempête
Referment leur braguette
Et sortent en rotant

Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui dansent
En se frottant la panse
Sur la panse des femmes
Et ils tournent et ils dansent
Comme des soleils crachés
Dans le son déchiré
D'un accordéon rance
Ils se tordent le cou
Pour mieux s'entendre rire
Jusqu'à ce que tout à coup
L'accordéon expire
Alors le geste grave
Alors le regard fier
Ils ramènent leur batave
Jusqu'en pleine lumière

Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui boivent
Et qui boivent et reboivent
Et qui reboivent encore
Ils boivent à la santé
Des putains d'Amsterdarn
De Hambourg ou d'ailleurs
Enfin ils boivent aux dames
Qui leur donnent leur joli corps
Qui leur donnent leur vertu
Pour une pièce en or
Et quand ils ont bien bu
Se plantent le nez au ciel
Se mouchent dans les étoiles
Et ils pissent comme je pleure
Sur les femmes infidèles

Dans le port d'Amsterdam
Dans le port d'Amsterdam.
Anonymous hat gesagt…
I hope you are feeling more well now! There is flu North and South!
Pedrita hat gesagt…
eu adoro esse pintor. beijos, pedrita